Cela ne fait que cinq jours que Thomas Pesquet a quitté le plancher des vaches pour s’envoler pour l’espace. L’astronaute français s’est envolé le vendredi 23 avril à bord d’une fusée SpaceX. Et il est parti pour une bonne durée de 6 mois.

Une demi-année donc passée loin de ses proches et de sa vie sur Terre. Celle qui risque d’être la plus touchée est sa compagne Anne Mottet, qui ne va pouvoir voir son bien-aimé que par écrans interposés.

Un "Flat Thomas" pour remplacer le vrai

Juste avant le départ de Thomas Pesquet, la jeune femme a publié une photo sur Twitter où l’on pouvait voir l’astronaute en tenue complète dans la voiture l’amenant jusqu’au pas de tir et elle se tenant à l’extérieur et lui envoyant un baiser de la main. En légende, Anne Mottet a écrit :

À partir de maintenant, je te regarderai sur écran.

Mais depuis, il semblerait que Anne Mottet ait trouvé la solution parfaite pour remplacer son amoureux. La chargée de politiques d’élevage à la FAO, une agence spécialisée des Nations unies, a publié le 28 avril sur Instagram un cliché comique. On peut y voir une représentation de Thomas Pesquet grandeur nature mais en carton.

Anne Mottet a décidé de la coucher à ses côtés sur le lit. En légende, elle a écrit :

De retour à la maison avec "Flat Thomas". Bonne nuit à la Station spatiale internationale.

La blague a été très appréciée

Ce trait d’humour a visiblement beaucoup plu aux internautes qui ont été plusieurs milliers à aimer la publication. Les commentaires pour renchérir sur cette blague ont eux aussi été nombreux :

"Un Thomas de substitution plutôt tranquille et taiseux, mais vigilance, le vrai Thomas en orbit autour de la terre nous observe attentivement, il voit tout depuis ses hublots panoramiques"

"Au moins celui-là c’est sûr qu’il ne ronfle pas!!"

 Thomas Pesquet et Anne Mottet @Instagram
Thomas Pesquet et Anne Mottet @Instagram

Thomas Pesquet n’a pour le moment pas réagi à la publication de sa chère et tendre mais nul doute qu’il trouve cette publication hilarante et courageuse de la part d’Anne Mottet.