Selena Gomez est en couverture d’Interview Magazine pour ce mois d’avril. La jeune femme a pu se confier sans détour à son amie Amy Schumer. La chanteuse de 27 ans est tout d’abord revenue sur sa vie privée étalée dans la presse à people.

Je n’ai jamais voulu faire la une des tabloïds. Quand cela est arrivé, c’est devenu hors de contrôle et je me disais : « Attends, rien de tout ça n’est vrai ». La façon dont les médias ont parfois tenté d’expliquer les choses a fait que cela ressortait d’une manière mauvaise alors qu’il n’y avait rien de mauvais dans le fait que j’ai eu besoin de m’éloigner ou bien que je sois tombée amoureuse. J’ai dû commencer à parler parce que les gens s’appropriaient ma propre histoire et ça me tuait. Je suis si jeune et je vais continuer de changer et personne n’a le droit de me dire comment va ma vie.

Sa relation avec son ex Justin Bieber et ses problèmes de santé ont été très médiatisés et cela alors même qu’elle était encore très jeune.

Certaines personnes prennent leur pied en donnant de la force aux autres pour ensuite essayer de les descendre.

Un nouvel album très personnel

Celle qui a récemment avoué être bipolaire a parlé de son nouvel album sorti en janvier. Elle a commencé par évoquer son single Lose You to Love Me.

Je l’ai écrit l’année dernière et je venais juste de terminer mes soins . C’était à un moment pendant lequel je suis revenue et je me disais : « Je suis prête à aller en studio avec des gens de confiance et commencer à travailler sur des chansons. » Les gens étaient vraiment contents car ils avaient l’impression que j’allais enfin être moi.

Elle a ajouté :

Mais je ne voyais pas forcément les choses comme ça à cette période. Quand j’ai écrit la chanson, je disais qu’il fallait que je touche le fond pour comprendre qu’il y avait cet énorme voile sur mon visage.

Selena Gomez a également pu parler de sa collection de maquillage Rare Beauty qui devrait être prochainement disponible dans les magasins Sephora. Elle voulait ainsi trouver un moyen pour que ceux qui utilisent ses produits se sentent mieux.

Les gens de ma génération se sentent obligés d’avoir telle ou telle apparence et je voulais une collection qui retire un peu de cette pression. J’ai engagé de vraies personnes pour mes campagnes publicitaires. J’ai 48 teintes de fond de teint et d’anti-cernes. C’est très simple, très facile. Je voulais que les gens se sentent en sécurité.

Qu’en pensez-vous ?