On ne présente plus Gérard Darmon. Son timbre de voix si particulier et son allure charismatique font qu'il est sur le podium des acteurs préférés des Français. Très actif sur les réseaux sociaux, et notamment sur Instagram, l'acteur a tenu à répondre cette fois-ci à ses détracteurs sur les ondes, et plus précisément sur RFM.

Une réponse qui inspire le respect

Des deux épisodes du Grand Pardon en passant par Astérix : Mission Cléopâtre ou encore à la récente série Family Business... Gérard Darmon a toujours su rebondir dans tous les genres. Dernièrement, son ouvrage Le dictionnaire de ma vie a fait un tabac en librairie.

Mais c'est dans le rôle de papa qu'il s'épanouit le plus. Son aînée s'appelle Virginie. Elle est née en 1968 de ses amours avec Nicole Recoules. Puis, dans la première moitié des années 90, naîtront Sarah et Jules, fruits de son amour avec Mathilda May . Enfin, sa dernière chérie, Christine, lui offre un magnifique cadeau. A l'été 2018, la petite Léna complète ce magnifique portrait de famille.

Interrogé sur son rôle de père par son ami Pascal Nègre, l'acteur résume les choses de façon attendrissante :

Ça change tout, la paternité ! J’ai eu cette chance d’être père très tôt, à 20 ans, et d’être père très tard. Et entre, il y en a eu deux autres. Donc oui, c’était quatre paternités différentes.

Incapable de rester insensible aux charmes de la petite dernière, Léna, Gérard Darmon a tout de même émis quelques craintes :

Ça m'a posé des problèmes. On se dit, à 68 ans, jusqu'où on va l'accompagner ? Bon en même temps, elle a des frères, elle a une mère. Donc elle ira… elle est là.

Une paternité tardive qui a valu à l'acteur des remarques acerbes des internautes. Les "aigris" ne voyaient pas d'un très bon œil cette réjouissance tardive.

C'est pour répondre aux quelques aigris qui m'ont insulté sur ces réseaux sociaux, là : “T'as pas honte ? Espèce de vieux c*n."

Avec philosophie, il pratique la politique de l’indifférence. En balayant d'un revers de la main toutes ces critiques non-constructives, il conclut avec élégance face à nos confrères de RFM : "Bon, je sais même pas pourquoi je parle d'eux, ça n'en vaut même pas la peine".