Après avoir connu une incroyable exposition médiatique en devenant une des chroniqueuses de TPMP sur C8, Agathe Auproux est parvenue à faire de nombreux autres projets et a même gagné en abonnés sur Instagram. La journaliste est en effet très suivie au point qu’elle peut également ajouter le terme « influenceuse » à son CV.
Mais si la jolie brune est très appréciée par une grande majorité d’internautes, certains n’hésitent pas à la tacler. Cela a notamment été le cas d’un d’entre eux lors d’une session questions/réponses sur Instagram.
Une réussite grâce à son physique ?
Celle qui n’a pas hésité à donner son avis sur l’affaire Pierre Palmade, a eu droit au message suivant :
T’es au courant que si t’avais pas ce physique, tu serais caissière ?
Agathe Auproux a alors répondu à celui qui avait écrit « serait » au lieu de « serais » dans son message.
Déjà respecte les caissières (et la conjugaison). Et je suis au courant que si je n’étais que « belle » ou du moins télégénique, je n’en serais certainement pas là non plus. Si mon physique m’a aidée ? Oui. Si ce physique est suffisant pour animer des émissions, pour adresser des débats et sujets de société, pour travailler avec La Roche-Posay sur la sensibilisation des effets secondaires cutanés des chimio et radiothérapies ? Non champion, ce n’est pas suffisant.
Elle a par la suite ajouté :
Mais toi j’espère que tu es très beau du coup parce que tu as l’air très bête.
Voilà qui est dit !
Agathe Auproux prend la parole sur la dépendance affective
Agathe Auproux a bien voulu participer au podcast « Bastos Motivation » de Bastien Grimal. La journaliste a décidé de parler de la dépendance affective, particulièrement dans le cadre d’une relation amoureuse.
Je suis passionnée par la relation à l’autre (…) La dépendance affective est souvent confondue avec de l’amour. Comme quand on s’appelle « t’es ma vie » etc (…) Sous couvert de je l’aime plus que tout, elle est ignorée. Quand toi ou ton partenaire partez dans des crises de jalousie, d’hystérie ou de possessivité extrêmes, c’est de la dépendance affective.
Elle a déclaré qu’on pouvait être addict à l’amour de l’autre comme on peut être addict à l’alcool.
L’occasion pour elle de revenir sur ses relations à la lumière de la relation qu’elle a pu avoir avec son père :
On a jamais vraiment connectés.
a-t-elle déclaré, comprenant que cela a pu, inconsciemment, la conditionner pour ses relations amoureuses.
C’est un manque que j’ai cherché à combler par la suite dans toutes mes relations avec les mecs (…) J’avais besoin d’exister à leurs yeux et d’être le centre de leur monde (…) Je déplaçais dans mes relations, des peurs d’abandon et des peurs de ne pas être à la hauteur, ou je ne suis pas assez bien pour mériter ton amour, sur mes mecs alors qu’ils n’étaient absolument pas à l’origine de ces failles et de ces névroses chez moi.
Désormais consciente de ça, Agathe Auproux a des relations amoureuses bien plus saines.