Pierre Palmade est dans la tourmente depuis le tragique accident de la route qu’il a causé le 10 février 2023, au cours duquel une femme enceinte de six mois a perdu son bébé. Si le pronostic vital de Pierre Palmade n’a pas longtemps été engagé, le conducteur du véhicule percuté par celui du comédien, ainsi que son fils, ont quant à eux été très gravement blessés.

Après un rapide passage en prison, Pierre Palmade, qui avait pris le volant sous l’emprise de stupéfiants, a finalement été assigné à résidence au sein du service d’addictologie de l’hôpital Paul Brousse, à Villejuif. Mais alors qu’il attend de connaître la date de son procès, l’humoriste de 54 ans est à présent dans le viseur de ses créanciers. En effet, d’après les informations du magazine Closer, ces derniers ont laissé à Pierre Palmade un délai de trois mois pour payer ses dettes.

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Pierre Palmade @DR

Une somme colossale

Comme l’avait révélé sa sœur il y a quelques semaines, Pierre Palmade doit rembourser la coquette somme de 250 000 euros. Une dette contractée, selon Le Point, auprès de son producteur, de l’Urssaf et du Trésor public. Et si ces droits d’auteur lui permettent de percevoir 5 000 euros par mois, il n’a désormais plus aucune source de revenus depuis son placement sous contrôle judiciaire.

Aussi, ses créanciers, soucieux de récupérer rapidement leur argent, menacent Pierre Palmade de faire saisir sa maison de Cély-en Bière, en Seine-et-Marne. Celui qui s’est brouillé avec Muriel Robin avait acquis la propriété de 430m2 en 2017 et l’avait mise en vente à son retour de Tunisie, où il était parti en cure de désintoxication. Car d’après plusieurs sources, Pierre Palmade serait ruiné, notamment à cause de son addiction à la drogue.

Pierre Palmade va-t-il devoir dire adieu à sa maison ?

Finalement, toujours d’après Closer, la vente de la maison, dont le prix a été fixé à 1,36 million d’euros, a été suspendue car les agents immobiliers recevaient des coups de téléphone étranges. C’est Hélène, la sœur de Pierre Palmade, qui s’est engagée à régler cette situation, dont on devrait connaître l’issue dans les mois à venir.

En 2020, Pierre Palmade confiait aux journalistes du Parisien, à qui il faisait visiter les lieux :

On m’avait dit qu’une maison, c’était une rencontre. La mienne, c’est ici.

Pas sûr qu’il la retrouve de sitôt.