Adeline Blondieau sur son mariage avec Johnny Hallyday : "Il y avait beaucoup de violence"

Avant d'épouser Laeticia Hallyday, Johnny Hallyday a passé la bague au doigt d'Adeline Blondieau... à deux reprises. Un mariage sur lequel la comédienne a fait de nouvelles confidences à l'occasion d'un documentaire, Johnny par Johnny, qui sera diffusé ce mardi 29 mars 2022 sur Netflix.

"Ce que j'ai vécu de lui, c'est le Johnny intime"

Nos confrères de TéléLoisirs rapportent les propos de l'ancienne héroïne de Sous le soleil. Ainsi, elle a révélé :

Une fois qu'on s'est retrouvé en tant que mari et femme, il fallait que j'accepte beaucoup plus que ce que j'aurais pensé. J'ai perdu une grande, grande partie de ma liberté. Mon métier, c'était Johnny.

Et d'ajouter :

Ce que j'ai vécu de lui, c'est le Johnny intime : c'est celui qui se réveille la nuit pour aller manger sa soupe, et qui a des cauchemars, qui a du mal à dormir, à qui il faut tenir la main, qu'il faut rassurer.

Ainsi, Adeline Blondieau n'a pas hésité à évoquer également l'addiction de Johnny Hallyday pour l'alcool. "Je me suis retrouvée à boire moi aussi pour comprendre l'autre", confie la comédienne.

Un mariage destructeur

Vous l'aurez compris, les deux stars ont vécu un mariage particulièrement destructeur. "Il y avait beaucoup d'amour et il y avait beaucoup de violence. Quand ça allait mal, il fallait qu'on meure. Mais il fallait qu'on meure ensemble", se souvient la comédienne, qui révèle au passage des souvenirs douloureux de leur union. "Moi, je me suis jetée par la fenêtre une fois et il m'a rattrapée par les cheveux ; lui, il s'est jeté en arrière d'un escalier et je le tenais par les bottes... C'était du drama très, très souvent", précise-t-elle.

Des drames qui ont eu raison de leur mariage. Eh oui, si les deux tourtereaux se connaissaient depuis toujours, ils ont finalement mis un terme à leur mariage en 1995. "A force, ça m'a épuisée parce que j'avais l'impression de me battre contre un démon qui est à l'intérieur de lui, et j'étais toute petite en face de lui. Donc je suis partie : là, je n'en pouvais plus, j'étais par terre", conclut Adeline Blondieau.