Il était indétrônable depuis plusieurs semaines. Mais ce lundi 14 janvier, Renaud, candidat d’origine belge de l’émission N’oubliez pas les paroles, sur France 2, a finalement été éliminé. Le maestro a buté sur une chanson de Nolwenn Leroy.
Pour certains, dans le titre Cassé, la chanteuse ne prononce pas le petit « mais » dans la phrase « comme c’est déjà cassé » alors que la production a fait apparaître cette conjonction à l’écran et attendait donc que les candidats le prononcent.
Un « mais » qui pose problème
Cependant, Renaud n’a lui-même pas chanté ce « mais » à l’origine de la polémique. A tort ou à raison ? Là est la question !
Ce sont plusieurs internautes qui ont signalé cette « erreur » au site RTL Info. Pour eux, le maestro a donc tout simplement été éliminé à tort du programme.
Certains sites font apparaître ce « mais » tandis que d’autres non…
On vous laisse vous faire votre propre idée en écoutant le titre de Nolwenn Leroy !
Ce « mais » est pourtant bel est bien lisible dans le livret des paroles.
Dans le règlement du jeu, il est indiqué que ce sont les paroles officielles, déposées à la Sacem, la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique, qui sont prises en compte.
Précisent nos confrères de Télé Star.
Pas de chance pour Renaud.
Notre champion belge a été éliminé par erreur @Nagui @France2tv ??♀️? Il n’y a pas de « mais » dans la chanson de @Nolwennleroyoff https://t.co/Y8lKFy3D8m Vu l’extraordinaire parcours et le montant astronomique en jeu, peut-on espérer une rectification pour notre représentant? ? pic.twitter.com/945exi6QKi
— Anne Ruwet (@AnneRuwet) January 14, 2019
Cette mésaventure n’est pas sans rappeler le parcours d’Aline, qui, en mars 2018, avait été éliminée à tort de l’émission de Nagui après 30 victoires, sur la chanson Manhattan-Kaboul, de Renaud et Axelle Red.
Là encore, ce sont les internautes qui étaient montés au créneau pour défendre la candidate. La production lui avait alors adressé ses excuses et l’avait invitée à revenir. Mais dans ce cas là, le livret du CD donnait raison à Aline…
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