Ce samedi 14 décembre, aura lieu la prestigieuse élection de Miss France au Dôme de Marseille. Mais avant cette célèbre soirée, l’heure est aux élections régionales. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que cette année, les polémiques s'enchaînent. Effectivement, l'élection de Miss Auvergne a été quelque peu entachée par une candidate accusant le comité de «grossophobie». Cette fois-ci, c'est le couronnement de Miss Centre-Val de Loire 2019, ce samedi 5 octobre, qui a été secoué par un petit couac à l'annonce des résultats.

La soirée vire au fiasco

En effet, selon nos confrères de La Nouvelle République, la grogne est montée à l'annonce de la deuxième dauphine. Or, la jeune femme appelée ne fait pas partie des 5 finalistes au milieu de la scène... mais se trouve sur le côté, avec les 13 jeunes femmes censées avoir perdu ! Une erreur impardonnable pour les 1.5000 spectateurs. La candidate qui se trouvait par erreur au milieu de la scène est alors « déclassée inélégamment » tandis que la bonne deuxième dauphine a été « réhabilitée dans la précipitation » rapporte le quotidien.

Face à la gronde, l’huissier de justice a reconnu avoir fait « une erreur d’interprétation » dans les résultats. Ce dernier a été appuyé par Sylvie Tellier qui a assuré au public qu'il y a eu "un problème de retranscription des numéros".

Leurs mots ne parviendront toutefois pas à calmer les tensions. Le père d’une des miss a exigé même de : « voir le constat d’huissier !  ». Selon les informations de La Nouvelle République, Sylvie Tellier aurait demandé à un agent de sécurité : « Ne le laissez pas prendre le document en photo. Il est consultable chez l’huissier uniquement ».

Une terrible erreur qui aura gâché la soirée. Selon Damien Courio, Mister Centre 2017, sur Instagram, Jade Simon-Abadie, la gagnante de l’élection, a eu droit à « 0 applaudissement  ». Une élection d'autant plus sous tensions puisque Jade Simon-Abadie qui portera donc l’écharpe de Miss Centre-Val de Loire à Miss France 2020, a été accusée de ne pas être assez représentative de la région. La raison ? En 2018, la jeune femme avait été élue deuxième dauphine de… Miss Ile-de-France !