Depuis sa première saison, L’Amour est dans le pré a permis à de nombreux agriculteurs célibataires de faire de belles rencontres. Toutefois, il arrive aussi que certaines histoires commencent par une déception, comme celle d’Antoine, qui n’a reçu aucune lettre de prétendante. Attristé par cette situation, l’éleveur a eu une discussion émouvante avec Karine Le Marchand.
Antoine confie sa peine
Ce lundi 1er septembre, Antoine, l’un des agriculteurs de cette 20e saison de L’Amour est dans le pré, n’a pas caché sa peine en découvrant qu’aucune lettre ne lui avait été adressée. Face à Karine Le Marchand, il a confié avoir ressenti “un pincement au cœur”.
Une émotion palpable qui a profondément ému la présentatrice. “Tu sais, il y a deux ans, nous avons eu la même situation avec David et Charles. Depuis, ils ont trouvé l’amour. Tu vois, ça va au-delà de cette journée de speed-dating. Ce n’est pas terminé”, a-t-elle rappelé.
Loin d’être indifférente à la situation de son candidat, Karine Le Marchand a partagé son désir de lui trouver une partenaire. “Ça va aller. Nous, on porte chance. On a très envie de te trouver quelqu’un et que tu sois heureux”, a-t-elle déclaré.
Des propos rassurants qui ont amené l'agriculteur à faire une confidence. “Une fois que j’ai quelqu’un dans le cœur, je ferai tout pour la garder et lui offrir des petits moments de plaisir”, a-t-il confié.

Les candidats de L’amour est dans le pré reçoivent de moins en moins de courrier
Si les propos de Karine Le Marchand peuvent être rassurants, la réalité est plus complexe qu’il n’y paraît. En effet, si certains agriculteurs ne reçoivent que peu, voire pas de lettres, cela ne traduit pas nécessairement un manque d’intérêt.
Dans une interview accordée à Télé-Loisirs, la productrice de l’émission pointe du doigt un phénomène bien plus inquiétant. “Les réseaux sociaux y sont pour beaucoup (...) Quand on a les prétendants au téléphone, ils n'ont pas peur de passer à la télé, mais de ce qui va être dit sur eux”, a-t-elle expliqué.
Selon Karine Le Marchand, ce phénomène qui “n'existait pas il y a quatre ou cinq ans”, freine aujourd’hui de nombreuses personnes qui souhaiteraient tenter l’aventure. Le fait est que les prétendants et prétendantes ont peur d’être exposés à une violence verbale et gratuite. Une évolution regrettable qui nuit directement à l’objectif de l’émission : aider à trouver l’amour.