Emmanuel Macron a annoncé lundi 16 mars la nouvelle aux Français. Pour 15 jours au moins, un confinement est en place, qui va contraindre les Français à passer la plus grande partie de leur temps chez eux. Si beaucoup de gens se sont rués sur les supermarchés, notamment pour acheter des pâtes, les sex-toys rencontrent aussi un franc succès.

Les sex-toys pour s'occuper à la maison

Ce sont nos confrères du Parisien qui se font l'écho de cette surprenante information. La vente online de sex-toys connaît un boom depuis le début de l'épidémie de coronavirus. Certaines entreprises comme Secret Pleasure s'appuient même sur la situation.

Profitez du stade 3 pour mettre du piment dans vos vies

clame l'entreprise en slogan. La marque Womanizer aurait déjà connu un boom de 50 % des ventes au niveau mondial, dont + 40% en France, ou encore + 60 % en Italie, des pays particulièrement touchés par le coronavirus.

Mieux encore, afin de ne pas rompre les consignes sur la distance sociale, certains misent sur des sex-toys qui peuvent être commandés à distance. L'entreprise Lelo.com a ainsi vu une augmentation des ventes concernant les produits télécommandés.

 La préconisation d'un mètre de distance semble même affecter l'intimité !

souligne avec humour Quentin Bentz, le manager France. L'entreprise Passage du Désir, qui a été contrainte de fermer plusieurs locaux, note aussi une hausse des ventes sur Internet. Pour en profiter, elle va lancer un pack "confinement", destiné à "dédramatiser un peu dans cette période difficile".

Et pour ceux qui hésiteraient encore à sauter le pas, un orgasme semble particulièrement conseillé en cette période de l'année. Cela représente en effet, un vrai boost pour la santé.

Les endorphines qui sont relâchées à ce moment-là stimulent les cellules du système immunitaire, il limite l'anxiété, le stress et l'agressivité grâce à l'ocytocine ou encore booste la production de mélatonine, l'hormone du sommeil

précise Le Parisien. Attention tout de même à ne pas en abuser ! Il ne reste plus qu'à espérer que la Sécurité Sociale se décide ensuite à vous rembourser.