Greenpeace vient de s'attaquer à l'enseigne Zara. L'ONG réputée pour ses actions coup de poing, a lancé une nouvelle campagne de sensibilisation sur la pollution par les vêtements nommée Detox . C'est la version numéro deux, vu que Greenpeace avait déjà montré du doigt de grandes marques comme Puma, Adidas ou encore Nike.
Cette fois-ci les magasins ciblés sont notamment ceux du prêt à porter féminin. Mais la bête noire de cette année n'est autre que l'enseigne espagnole Zara. Le concept qui a déjà porté ses fruits l'année dernière se renouvelle et fait appel aux consommateurs.
Greenpeace veut tout simplement que les entreprises ressentent une pression telle qu'elles décident d'arrêter l'utilisation des composants chimiques qui polluent notre nature, et adoptent une politique de transparence quant à leur chaîne de fabrication. Si Zara est dans le collimateur cette année c'est parce qu'ils sont leader sur le marché et qu'ils sont faciles a attaqués. Voici les explications de la part de l'ONG :
La mode ne doit pas être synonyme de toxicité. Sans engagement ferme du numéro un du secteur, impossible de débarrasser l’industrie textile, les usines et les rivières de ces produits dangereux. Zara est très soucieuse de son image et compte des millions de fans sur les réseaux sociaux ? Nous aussi, nous sommes des millions de consommateurs inquiets ! Faisons-lui passer le message !Zara est toujours à l’affût des dernières tendances ? Alors la marque doit être in pour éliminer les substances toxiques de sa chaîne de production !Des analyses en laboratoire d’articles de la célèbre marque ont révélé la présence de produits chimiques qui, à chaque lavage, engendrent des rejets de substances toxiques.
Fashionista ou pas, nous sommes tous concernés ! Ces substances utilisées par les centaines de fournisseurs de Zara pour fabriquer des millions de vêtements contaminent durablement l’environnement.
C’est tout simplement inacceptable ! Zara doit décontaminer ses vêtements !Rejoignez notre campagne Detox et demandez à Zara de laver son linge sale !
A savoir maintenant si les consommateurs vont suivre le mouvement.