Le jour où les Français apprenaient la mort de Johnny Hallyday, le 6 décembre dernier, les chaînes françaises organisaient des soirées spéciales pour rendre hommage au chanteur. On se souvient alors de Michel Drucker, les larmes dans les yeux et des trémolos dans la voix, au moment de rendre l'antenne sur France 2.

Invité dans le Morandini Live sur CNews ce 15 février, l'animateur de Vivement dimanche n'a pas échappé à la question fatidique de l'héritage de Johnny Hallyday. Le chanteur a en effet décidé de déshériter Laura Smet et David Hallyday, ses deux aînés. Tandis que certains proches de la famille tirent à boulets rouges sur Laeticia, Michel Drucker a préféré penser à ce que son ami aurait voulu qu'il fasse.

"Johnny aurait aimé qu'on ferme notre gueule"

Ainsi, quand Jean-Marc Morandini lui a demandé « Vous imaginez Johnny, en toute conscience, déshériter ses enfants ? », Michel Drucker s'est montré ferme.

Écou­tez, moi je ne ferai pas de commen­taire pour une raison très simple, c’est que Johnny n’ai­me­rait pas que je parle de ça. Il n’ai­me­rait pas que ceux pour qui il avait de l'affection, et je crois que j'en faisais partie, se mêlent de ça.

A-t-il affirmé avant de préciser :

A chaque fois que l'on interroge des gens sur des gens bien connus, célèbres, avant de répondre et d'accepter un hommage ou une interview, je me demande : "Qu'est ce qu'il aurait aimé lui ?"

Et de conclure :

Et je crois que Johnny aurait aimé qu'on ferme notre gueule, donc je la ferme.

Il est vrai que d'autres ne se privent pas de commenter l'affaire...