Paola, la femme qui a porté plainte contre Stéphane Plaza pour violences psychologiques, a réagi à la décision du tribunal de le relaxer. Malgré tout, elle ne semble pas vraiment déçue. 

Stéphane Plaza condamné pour violences sur une ancienne compagne

Le tribunal a finalement tranché. Accusé de violences par une ancienne compagne, Stéphane Plaza a écopé de 12 mois de prison avec sursis.

Cette décision fait suite aux accusations de son ex-compagne, selon laquelle l’agent immobilier aurait eu un comportement inapproprié après qu’elle a révélé leur histoire d’amour. En effet, il se serait montré menaçant et l’aurait même blessée au doigt. “Il m’a dit très calmement : 'On va parler une dernière fois de ce qui s’est passé'. Puis il s’est levé d’un coup et s’est mis à me hurler dessus, à quelques centimètres de mon visage”, a-t-elle confié.

Des faits reconnus par le principal concerné lors de son procès. Devant le juge, il a tenté de justifier son comportement violent à l’égard de son ex en invoquant la maladresse. “Je lui prends les mains et je les écarte. Je suis dyspraxique, je suis maladroit et je ne contrôle pas mes mouvements, je me blesse souvent. C'était accidentel. Mais je ne l'ai pas plaquée contre le mur”, a-t-il avoué.

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Stéphane Plaza @Christophe Clovis-Bestimage

L’animateur relaxé pour une autre plainte pour violences

Une autre femme prénommée Paola a également porté plainte contre Stéphane Plaza pour violences psychologiques. Cependant, par manque d’éléments, le tribunal a choisi de le relaxer.

Une décision que la plaignante a commentée après que le verdict a été rendu. “Je suis soulagée que la justice nous ait reconnues en tant que victimes en condamnant Monsieur Plaza pour le cas d’Amandine”, a-t-elle confié dans son interview pour TV Mag.

Par ailleurs, l’ex de Stéphane Plaza espère que cette affaire donnera du courage aux femmes qui “subissent des violences physiques et psychologiques”. “J’espère que ça servira à faire évoluer la mentalité des hommes qui ont un sentiment de toute-puissance et d’impunité, car ce genre de comportement n’est pas acceptable”, a-t-elle ajouté.