Depuis plusieurs années, Gims et sa famille sont installés à Marrakech. En couple avec Demdem, ils ont à 4 enfants. La nuit du 8 au 9 septembre, les parents ont eu très peur pour leur progéniture. En effet, Demdem a expliqué dans sa story Instagram qu'ils étaient à Paris à ce moment-là. Les enfants, quant à eux, sont restés dans leur villa à Marrakech.

Heureusement, il y eut plus de peur que de mal. Depuis, Gims et Demdem sont très investis pour soutenir les habitants sinistrés. En effet, la jeune maman partage au maximum, sur Instagram, toutes les informations pouvant aider à récolter des dons de produits de première nécessité.

Le chanteur, actuellement présent dans les petits villages reculés, a dévoilé en vidéo l'ampleur des dégâts mais également toute la solidarité mise en place.

Gims au cœur de l'action

Le lundi 11 septembre, toujours sur Instagram, l'interprète de Je me tire, a dévoilé les fissures incroyables qu'a laissé le séisme. "C'est une dinguerie", a déclaré la star, avant de poser son doigt sur l'une des fissures pour que les internautes réalisent l'ampleur des dégâts. "C'est profond quand même", a-t-il précisé.

Encore très touchée par ce qu'il s'est passé, sa femme a eu très peur pour ses enfants. Elle a immédiatement ressenti le besoin de passer du temps avec eux.

Le choc c'est vraiment de me dire que j'aurais pu perdre mes enfants. J'ai eu ce besoin, pendant deux jours de rester avec eux, ils en avaient besoin aussi.

Depuis, le couple est présent dans les centres de dépôts, pour récolter toutes les affaires a distribuer, mais participe également à la redistribution des dons.

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Gims @Instagram

"Je vois la maison fissurée"

Sur place, Gims a été interviewé par plusieurs médias locaux. Il a été identifié sur son compte Instagram dans les vidéos le dévoilant en train de distribuer les nombreux sacs. Il explique notamment comment il a appris la terrible nouvelle :

Moi j'étais en France, je descendais de scène. J'apprends qu'il y a un tremblement de terre à Marrakech. (...) J'ai ma femme au téléphone, en pleurs, qui arrive même pas à s'exprimer, à m'expliquer ce qu'il se passe. Donc dans ma tête, moi c'est un cauchemar pendant 10 / 15 secondes.

Il ajoute :

(...) On saute dans le premier avion avec mon frère Dadju, on arrive sur place. Je vois la maison fissurée. Mais l'élan de solidarité qu'il y a c'est magnifique, c'est vraiment très fort.