Roselyne Bachelot fait partie des personnalités réputées pour leur franc-parler. L’ancienne ministre, élue en 1988 dans la 1re circonscription de Maine-et-Loire, a par la suite su se faire une place dans le paysage audiovisuel français. Il faut dire que sa personnalité, ainsi que le fait qu’elle ne pratique pas la langue de bois, ont rapidement séduit les caméras.
Une réputation qu’elle a, une fois de plus, confirmée le samedi 13 décembre dernier sur le plateau de l’émission Quelle époque !, présentée par Léa Salamé sur France 2.
Roselyne Bachelot en possession d’un sextoy qui ne lui appartenait pas
Après la diffusion d’un sketch de Florent Peyre sur le Womanizer, un sextoy féminin très populaire, Roselyne Bachelot a partagé une folle anecdote sur son passé au sein de l’Assemblée nationale.
« Il y avait des travaux dans mon bureau de députée. Je récupère ce bureau, et il y avait quelque chose qui coinçait le réfrigérateur encastré. Je regarde derrière le frigo et il y avait un énorme sextoy », a-t-elle confié, à la stupeur générale.
« Les ouvriers avaient réarrangé le bureau », a ajouté celle qui n’avait alors qu’une seule peur : que cet objet soit découvert et que l’on puisse penser qu’il lui appartienne. Roselyne Bachelot a donc fait son possible pour s’en débarrasser en toute discrétion.
« Je me dis : "Je ne vais pas le jeter dans la poubelle parce que si les huissiers le trouvent, ils vont se dire : "Dis donc, Bachelot, elle ne s’ennuie pas !" ».
Un long chemin avant de pouvoir enfin se débarrasser du sextoy
Mais cette tâche, au demeurant anodine, s’est révélée bien plus ardue que prévu.
« J’enveloppe ça dans un journal et je déambule sur le boulevard Saint-Germain, et chaque fois que je m’apprêtais à le jeter dans une poubelle publique, je rencontrais quelqu’un que je connaissais », a raconté l’ancienne politicienne, poursuivant cette folle histoire à peine croyable.
Roselyne Bachelot a alors dû marcher longuement avant de trouver, enfin, le moment propice pour jeter le sextoy qui lui a causé tant de frayeurs.
« J’ai marché jusqu’à l’Institut du monde arabe pour m’en débarrasser », a-t-elle conclu.
Décidément, il s’en passe des choses à l’Assemblée nationale.