Angélique Angarni-Filopon tourne officiellement la page de son règne de Miss France 2025. Alors qu’une nouvelle reine de beauté a été sacrée ce samedi 6 décembre, l’ancienne Miss fait le point sur son avenir et explique pourquoi elle ne retournera pas vers sa précédente carrière, même maintenant qu’elle retrouve du temps pour elle. Après une année intense, c’est au Zénith d’Amiens qu’elle a transmis l’écharpe à Hinaupoko Devèze, qui devient Miss France 2026 et dont la vie sentimentale intrigue déjà.

Avec ce chapitre qui se ferme, beaucoup s’interrogent : que prévoit l’ancienne Miss pour la suite ? Et surtout, reprendra-t-elle son poste d’hôtesse de l’air, qu’elle occupait avant son aventure Miss France ? C’est à Télé-Loisirs qu’elle a accepté de faire le point.

Angélique Angarni-Filopon se voit dans le cinéma

Avant d’envisager quoi que ce soit, Angélique Angarni-Filopon compte lever le pied : "Pour l’instant, la suite s’envisage avec un tout petit peu de repos", confie-t-elle, souhaitant s’offrir deux semaines pour souffler.

Professionnellement, elle préfère désormais miser sur autre chose : "être au cinéma, par exemple, faire de la voix off, être animatrice, présentatrice..." Elle rêve de "choses extraordinaires" et se sent prête à se lancer dans de "plein de projets". L’un des premiers est déjà officiel : elle rejoindra la prochaine saison de Danse avec les Stars sur TF1.Reste une question : son métier d’hôtesse de l’air a-t-il encore une place dans cette nouvelle vie ?

Angélique Angarni-Filopon ne veut pas retourner en cabine

Elle s’est elle-même penchée sur le sujet : "C’est une question que je me suis posée pas plus tard qu’il y a un mois", explique-t-elle, avant d’annoncer qu’elle n’y retournera pas. Les raisons sont multiples : "Je n’ai pas envie d’être une attraction sur les vols, qu’il y ait des photos prises à la volée, que mes collègues soient mal à l’aise parce que je suis Miss France 2025... Cela reste tout de même un lieu où la sécurité prime !"

La sécurité, justement, est aussi un enjeu personnel : "Je pense que, pour ma sécurité, un endroit clos dans lequel on reste enfermés pendant huit heures, il faut être réaliste : ce n’est pas idéal... Après une année aussi médiatique que celle de Miss France, ça va être compliqué de reporter un uniforme et passer dans les couloirs comme si de rien n’était", poursuit celle qui a vécu une année particulièrement exposée.

Un monde s’achève, un autre commence.