C’est en 1999 que Johnny Hallyday s’offre la sublime villa la Savannah à Marnes-la-Coquette. Avec 1 100 m² sur un terrain de 9 500 m², la propriété est une demeure d’exception dans laquelle le célèbre rockeur a fini ses jours.
C’est en décembre 2017 qu’il nous a quittés et sa veuve, Laeticia Hallyday, n’a pas perdu de temps en mettant le bien en vente quelques mois seulement après son départ. Difficile d’imaginer que celui-ci ne trouve pas rapidement un acquéreur, et pourtant...
La Savannah enfin vendue ?
Le 20 juin 2025, Closer révélait que la Savannah avait enfin un nouveau propriétaire. Pour rappel, Laeticia Hallyday espérait, au départ, pouvoir en tirer 26 millions d’euros et ainsi éponger la dette fiscale de son défunt mari. Il lui reste, selon Gala, encore 7 millions d’euros à payer au fisc. Cependant, d’après les informations de nos confrères de Closer, après sept ans d’attente, elle aurait finalement réussi à la vendre pour environ 10 millions d’euros. De quoi lui permettre de régler toutes ses dettes et de pouvoir enfin tourner la page.
Mais faut-il prendre ces informations pour argent comptant ? Laeticia Hallyday est-elle réellement parvenue, après tant d’années, à vendre ce luxueux bien immobilier ?
Les réserves de la maire de Marnes-la-Coquette
Interrogée à ce sujet par Le Parisien le 21 juin dernier, Christiane Barody-Weiss, maire (LR) de Marnes-la-Coquette, a déclaré : « Attention, nous n’avons pas encore de document prouvant que la villa est bien vendue. »
Méfiante, elle a ajouté : « Ce n’est pas la première fois qu’on entend cela. J’attends d’avoir une preuve de la vente sous les yeux. »
Nos confrères précisent que, bien qu’un acheteur se soit positionné, rien n’a encore été finalisé. Il faudra donc encore prendre son mal en patience afin d’être sûr que la Savannah ait bel et bien été vendue.
La question qui se pose désormais est celle de savoir quel genre de propriétaire sera celui de la Savannah. La maire de la ville a déclaré que « ces dernières années, le souvenir de Johnny attirait nettement moins de monde. »
L’acquéreur cherchera-t-il à préserver le souvenir du rockeur ou bien à pleinement investir les lieux, quitte à tout changer ?
« Est-ce qu’on aura quelqu’un, comme un dignitaire du Golfe, qui n’y viendra que quelques jours par an, à l’abri des murs ou au contraire une personne qui mettra un peu d’animation ici ? Marnes est très, trop, tranquille. À part un resto et un antiquaire, il n’y a pas grand-chose, c’est un peu mort » a confié une habitante à nos confrères du Parisien.