Julien Clerc est actuellement en pleine tournée promotionnelle de son dernier album paru le 23 mai dernier. C’est également à cette date qu’il a accepté de participer au podcast de Jean-Luc Reichmann intitulé On se tutoie ?
Celui qui sera également de retour sur scène en février 2026 pour sa tournée Une vie, à l’occasion de ses 80 ans, a été amené à revenir sur ce désaccord qu’il a eu avec l’actrice Sophie Marceau en 1997.
Les seins de Sophie Marceau chantés par Julien Clerc
Alors que l’animateur Jean-Luc Reichmann a souhaité revenir sur sa chanson Assez... Assez sortie en 1997, Julien Clerc a affirmé y avoir parlé des seins de Sophie Marceau en son « honneur », même s’il confesse aujourd’hui que l’actrice « avait raison ».
Revenant sur la genèse de sa chanson, qui n’a pas manqué de courroucer Sophie Marceau à l’époque, Julien Clerc a balancé sur son collègue :
« C'est David McNeil qui est un peu coquin. On voit bien que l'inspiration de David, que ce soit, en particulier dans Mélissa, ou même un peu dans Hélène, et même dans des chansons qu'il n'a pas écrites pour moi, il y a quelque chose, chez David, dans une position de mec qui est un peu caché, qui regarde comme ça… Il mate un peu. Il a une inspiration un peu de mateur. En tout bien, tout honneur. (...) Il m'avait donné un texte, qui était qu'on en a marre de tous ces trucs qui blessent, qui sont piquants, qui sont coupants, et ce qu'on aime ce sont les choses rondes, et, avait-il dit donc, 'les seins de Sophie Marceau' »
S’il trouvait cela bien innocent à l’époque, il comprend désormais pourquoi la comédienne n’avait pas du tout apprécié cette référence qui lui a été faite dans son titre.
Julien Clerc donne raison à Sophie Marceau
« Elle l'avait mal pris, et j'ai réfléchi depuis. Mais, c'est vrai que le monde, en plus, a changé depuis » a confié le célèbre interprète.
« Je pense qu'aujourd'hui, on ne le ferait plus, on ne l'écrirait plus je crois. Nous, on faisait ça un petit peu, en honneur d'elle, et elle l'avait très mal pris, et je pense qu'elle avait raison, en fait. Elle avait dit : 'C'est mon corps, etc.' »
Julien Clerc a par la suite confié ne pas en avoir reparlé avec elle, ne la connaissant « pas très bien ». Cependant, il a entendu dire qu’elle lui aurait pardonné.
« Je sais qu'entre-temps, elle m'avait pardonné, paraît-il, on me l'avait dit. Si je la rencontre un jour, bien sûr, j'en parlerai volontiers avec elle, je m'excuserais sans doute parce que, effectivement, c'est quelque chose qu'on ne ferait plus de nos jours. »
Julien Clerc a bien retenu la leçon.