Iris Mittenaere ne se laissera pas faire. Depuis quelques jours, l’ancienne Miss France et Miss Univers voit Aqababe révéler ses prétendus secrets sur la Toile.
Des prétendues révélations embarrassantes
Dans un premier temps, le blogueur l’a accusée d’avoir été infidèle à son ex-fiancé, Diego El Glaoui. Ce dernier n’a pas tardé à réagir. Et c’est via un communiqué qu’il a révélé :
Bien que je n’aie jamais souhaité exposer cette partie de ma vie, je dois reconnaître que ce qui a été dit ce soir est vrai. J’ai découvert que j’avais été trompé à plusieurs reprises et pendant plusieurs mois. Et malgré cela, j’ai adopté des paroles et des gestes de paix pour tenter de préserver notre couple et de ne pas l’exposer.
Aqababe a également dévoilé une vidéo privée d’Iris Mittenaere, où on la voit en compagnie de son ex, Bruno Pelat, qu’elle a accusé de violences conjugales. “Iris Mittenaere, soi-disant femme battue sous emprise, voyait en secret son ex Bruno Pelat après l’avoir bien terminé publiquement pour le buzz !”, indiquait le blogueur.
Bruno Pelat est lui aussi sorti de son silence, via un communiqué partagé par son avocat. S’il confirme l’authenticité de la vidéo partagée par le blogueur, il a également pris la défense de son ex.
Iris Mittenaere dénonce "une campagne de haine et de diffamation sur les réseaux sociaux”
Face à ces accusations et à celles que le blogueur menace encore de dévoiler, Iris Mittenaere est sortie de son silence. C’est en story Instagram qu’elle a partagé un communiqué dans lequel elle dénonce faire l’objet “d’une campagne de haine et de diffamation sur les réseaux sociaux.”
Des propos mensongers, volontairement déformés ou sortis de leur contexte, ont été relayés pour tenter de nuire à mon image, à ma parole et à mon engagement. Je ne suis pas la seule dans ce cas. Comme trop d’autres femmes, je constate à quel point la calomnie, le harcèlement et la manipulation sont devenus des outils de pression en ligne. Il est temps que cela cesse.
Bien déterminée à faire valoir ses droits, l’ancienne reine de beauté annonce qu’une “plainte pénale a été déposée auprès du Procureur de la République de Paris pour divulgation de correspondances privées, diffamation publique, cyberharcèlement et incitation au cyberharcèlement.”
Et de préciser :
Parallèlement, une procédure d’urgence civile est engagée pour atteinte à l’intimité de ma vie privée. J’ai donc donné mandat à mes avocats de tout mettre en œuvre pour faire cesser ces agissements.
Face à cette épreuve, elle peut bien évidemment compter sur le soutien de ses proches, mais également de ses abonnés, qu’elle n’a pas manqué de remercier.
