Vincent Elbaz a commencé sa carrière de comédien dans les années 90, en s’inscrivant au cours Florent. Après s’être produit sur les planches dans de nombreuses pièces de théâtre, il a décroché son premier rôle au cinéma en 1994 dans Le Péril Jeune, de Cédric Klapisch, partageant l’affiche avec Romain Duris, Élodie Bouchez ou bine Hélène de Fougerolles. Il a ensuite figuré au casting de comédies populaires, telles que Les Randonneurs, de Philippe Harel, sinon La vérité si je mens !, réalisé par Thomas Gilou.
Mais avant de se faire connaître du grand public, Vincent Elbaz a commencé en tant que figurant dans une sitcom française, qui a longtemps fait les belles heures de TF1. En effet, l’acteur de 54 ans a obtenu un rôle de figurant dans Hélène et les garçons, alors qu’il n’avait qu’une vingtaine d’années. Mais l’expérience n’aura pas été vraiment concluante.

Un premier rôle loin d’être marquant
À l’occasion de la sortie en salles de son nouveau film, Haut les mains, ce mercredi 12 février 2025, Vincent Elbaz était reçu sur le plateau de Télématin. Après avoir révélé qu’il était un immense fan de Grace Kelly, ce sont les souvenirs de ses débuts dans le septième art qui ont été abordés. Et en entendant la musique du générique de la série Hélène et les garçons, celui qui est marié à la journaliste Fanny Conquy a souri, avant de faire part d’une anecdote amusante.
Camille Dahan, l’une des chroniqueuses de l’émission, a ainsi révélé que Vincent Elbaz avait été coupé d’une scène alors qu’il faisait de la figuration dans la série créée par Jean-Luc Azoulay. "Ils m’avaient mis de dos, là-bas, au fond devant un flipper et ils m’ont dit : "Fais semblant de jouer au flipper", s'est-il d’abord souvenu, avant d'expliquer qu’il "essayait de faire tilter le flipper" :
Enfin, je faisais des gestes un peu bizarres. J’essayais d’exister, j’étais un jeune acteur qui essayait d’exister de dos au fond du plan.
Des révélations qui ont bien fait rire sur le plateau. Mais paradoxalement, il garde un bon souvenir de son passage dans Hélène et les garçons :
Ils m’ont tellement vu exister qu’ils m’ont coupé. Ça les a énervés. Ce qui m’a fait plaisir, c’est qu’ils se sont vraiment embêtés à couper un figurant.
A-t-il déclaré, pas rancunier pour un sou.
Un papa impliqué
Avant son passage dans Télématin, Vincent Elbaz était présent sur le plateau de C à vous, sur France 5, le 10 février dernier, où il a évoqué son enfance et l’éducation qu’il a choisi de donner à ses quatre enfants.

L’acteur est le père d'Anna, née en 2007 et fruit de ses amours avec l'actrice Mette Berggreen. De son mariage avec Fanny Conquy sont nés de trois enfants : Simon, en 2015, et deux filles qui ont respectivement vu le jour en 2018 et en 2021.
"J’ai été éduqué par une femme qui avait des convictions et un père qui pratiquait plutôt le partage des tâches, qui était ouvert à toute discussion remettant en cause la virilité. Il ne plaçait pas sa virilité au mauvais endroit", a indiqué celui qui s’est dit féministe, précisant au passage que même ses amis venaient souvent parler à son père, bien plus ouvert que le leur. Une éducation qu'il souhaite reproduire avec sa progéniture.