De 1991 à 2008, Cristiana Reali a vécu une belle histoire d’amour avec Francis Huster. Les deux comédiens sont restés pendant près de 20 ans ensemble, après s’être rencontrés au Cours Florent alors qu’elle était élève et lui professeur. Ensemble, ils ont eu deux filles : Elisa, née en 1998, et Toscane, en 2003.
Cristiana Reali et Francis Huster, toujours proches malgré leur rupture
Lors d’un entretien accordé à l’émission Club de l’été sur Europe 1 ce jeudi 7 août, Cristiana Reali s’est confiée sans filtre à Roland Perez. L’occasion pour la comédienne de parler des liens qu’elle entretient encore avec son ex.
« On se parle beaucoup de théâtre, de projets… On s’écoute mais on ne se suit pas spécialement » a confié celle qui avoue apprécier continuer à pouvoir échanger avec l’acteur.
« C’est important pour moi d’échanger avec lui car même quand on n’est pas d’accord, il y a toujours quelque chose qui ressort. Je pense que pour lui, c’est pareil. Ça ne veut pas dire qu’on fait ce que l’autre a dit mais c’est important de voir quelqu’un qui me connaît tellement bien, qui a vu mes débuts, mon évolution. C’est important de l’entendre ».
Pouvoir se confier en toute sincérité à une personne qui nous connaît réellement semble beaucoup aider Cristiana Reali, qui a ajouté que son ex avait toujours été « positif » avec elle.
Un amour qui a beaucoup fait parler
Dans l’émission Un dimanche à la campagne en décembre dernier, Cristiana Reali avait pu revenir sur les prémices de son amour avec Francis Huster. Avec leurs 18 ans d’écart et le fait qu’elle était élève et lui professeur, leur idylle était sur toutes les lèvres.
Le professeur l’avait choisie pour jouer dans la pièce Lorenzaccio aux côtés de Clotilde Courau. Ce n’est que deux ans après que leur relation a réellement débuté.
« Deux ans après, il m’a engagée dans une autre pièce et c’est là où on a commencé à avoir une histoire plus officielle, disons » avait-elle révélé.
« C’était le prof que tout le monde vénérait. Il y avait énormément de personnes qui voulaient être à ma place. Et je savais qu’à partir du moment où les choses seraient un peu officielles, j’allais me faire mal voir ».
Cela n’a pas loupé puisqu’elle a alors été victime de « regards très violents » ainsi que de « cancans ».