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En 2017, Amandine Pellissard a écopé de six mois de prison ferme pour vol à l’étalage. Jeudi 11 janvier 2024, après avoir fait appel de cette décision, le verdict est tombé. La compagne d’Alexandre peut souffler. Voici tous les détails.
Les ennuis d'Amandine Pellissard avec la justice
Amandine Pellissard n’a pas un passé exemplaire. Avant de devenir célèbre grâce à Familles nombreuses : la vie en XXL, la compagne d’Alexandre a cumulé quelques méfaits.
En 2015, elle avait écopé de six mois de prison avec sursis plus trois ans de mise à l’épreuve pour une affaire de chèques en bois. L’année d’après, la police l’arrête pour vol de nourriture dans un supermarché.
Ces méfaits ont amené la matriarche à faire très attention, car au moindre faux pas, elle se retrouverait derrière les barreaux. Chose qu’elle voulait absolument éviter.
Le 19 décembre dernier, elle a révélé ressentir quelques craintes, car son avocat n’était pas très optimiste. Alors que la date de son procès approchait, elle croisait les doigts pour ne pas prendre plus de deux ans.
Le verdict du tribunal
Le procès d’Amandine Pellissard a finalement eu lieu le jeudi 11 janvier 2024. En cette occasion, la mère de famille nombreuse a échangé avec sa communauté virtuelle pour leur partager quelques informations.
Sur Instagram, la mère de famille a révélé que son avocat a réussi à la sauver de la prison. Il serait parvenu à convaincre le tribunal de ne pas lui donner une sanction trop lourde. La mère de famille a expliqué :
Il a réussi à prouver que j’ai eu connaissance du début de la mise à l’épreuve après les faits de récidive.
Pour entrer dans les détails, lorsqu’Amandine Pellissard a commis son vol en 2016, les documents concernant sa mise à l’épreuve ne lui ont pas encore été envoyés. Grâce à cela, elle a pu se défendre en expliquant n’avoir pas eu connaissance de la chose.
Ça a changé toute la donne, donc je suis en récidive mais ils ne considèrent pas que j’étais en période de mise à l’épreuve pour ces faits-là
L'épouse d'Alexandre a également dédommagé la plupart des parties civiles. Son geste a augmenté ses chances de recevoir une sanction moins sévère.
Ainsi, la mère de famille nombreuse s’en sort avec seulement “quatre mois de bracelet électronique à la maison”. Rassurée par ce verdict, elle dit vouloir se poser, consciente de ses erreurs passées.
Pour information, la maman de Léo n’a pas assisté à son procès qui a eu lieu à Besançon.