Le 14 mars, Valérie Trierweiler était l’invitée des Enfants de la télé sur France 2. Durant l’émission, Laurent Ruquier a posé la question à tous les invités de savoir quelle était leur pire erreur. La journaliste a alors évoqué "ce tweet envoyé pour soutenir un candidat aux législatives".

De quelle affaire parlait-elle ? Eh bien, en 2012, un mois après l’investiture de celui qui était alors son compagnon, François Hollande, en tant que président de la République, Valérie Trierweiler s’était fendu d’un tweet pour soutenir Olivier Falorni, l’adversaire de Ségolène Royal aux législatives :

Courage à Olivier Falorni qui n’a pas démérité, qui se bat aux côtés des Rochelais depuis tant d’années dans un engagement désintéressé.

"Je me suis excusée"

Ségolène Royal étant l’ex-compagne de François Hollande, ce tweet était en effet très malvenu. Il avait été alors logiquement accueilli par beaucoup comme une provocation de la journaliste. Le tweet avait fait énormément de bruit et causé bien des désagréments pour tous les individus impliqués. Valérie Trierweiler s’en est malheureusement rendu compte trop tard :

Je pense que je n'avais pas mesuré que je n'avais plus le droit d'avoir une parole propre. Je me suis excusée. J'ai fait toutes les contritions possibles. Je le dis encore, mais ce qui est fait est fait.

Valérie Trierweiler s'en veut toujours

Près d’une décennie après, Valérie Trierweiler s’en veut donc encore manifestement et tenait à refaire son mea culpa à la télévision.

 François Hollande et Valérie Trierweiler @AFP
François Hollande et Valérie Trierweiler @AFP

Un geste qui a sûrement dû faire plaisir à Ségolène Royal. Elle qui avait été durement touchée par ce tweet :

Il était impossible pour moi de trouver le mot juste. Tout simplement parce qu'une telle situation est ingérable : en dire trop et je fais rebondir l'affaire en me tirant vers le bas. En dire pas assez et minimiser le coup porté ? Je n'ai rien dit, et repris ma campagne avec des semelles de plomb.